À propos d'Ésaïe 66.2
L'article suivant traite du chapitre 66, verset 2 du livre d'Ésaïe, un texte biblique de l'Ancien Testament. Ce passage est riche en significations et en interprétations, et a suscité de nombreux débats et réflexions au fil des siècles.
Le verset 2 du chapitre 66 d'Ésaïe se lit comme suit : "Tout cela, ma main l'a fait, et tout cela m'appartient, dit l'Éternel. Mais voici sur qui je porterai mes regards : sur celui qui souffre et qui a l'esprit abattu, sur celui qui craint ma parole."
Ce verset est une affirmation de la souveraineté de Dieu sur toutes choses, comme le souligne la première phrase : "Tout cela, ma main l'a fait, et tout cela m'appartient". Cette déclaration est une reconnaissance de la toute-puissance de Dieu, qui est à l'origine de tout ce qui existe.
Cependant, la seconde partie du verset est tout aussi importante. Dieu déclare qu'il portera son regard sur "celui qui souffre et qui a l'esprit abattu, sur celui qui craint ma parole". Cette déclaration montre que Dieu est attentif aux souffrances de ses enfants et qu'il est proche de ceux qui sont dans le besoin.
Le verset 2 d'Ésaïe 66 est souvent interprété comme une invitation à l'humilité et à la confiance en Dieu. Les personnes qui sont dans la souffrance ou qui ont l'esprit abattu sont invitées à se tourner vers Dieu et à placer leur confiance en lui. De même, ceux qui craignent la parole de Dieu sont encouragés à rester fidèles à ses enseignements et à suivre sa voie.
Ce verset est également une affirmation de la justice de Dieu. En portant son regard sur ceux qui souffrent et qui sont dans le besoin, Dieu montre qu'il n'est pas indifférent à leurs souffrances et qu'il est prêt à intervenir en leur faveur. Cela rappelle aussi que ceux qui sont dans des situations de pouvoir ou de privilège doivent être conscients de leur responsabilité envers les plus faibles.
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